
Maintenance IT : pourquoi le modèle TPM / Shared Support séduit de plus en plus de DSI
Avec Jiliti
Dans un environnement technologique en constante évolution, la gestion de la maintenance IT est devenue un sujet stratégique pour les directions des systèmes d’information. Entre hétérogénéité des équipements, exigences de disponibilité et pression budgétaire, les DSI cherchent des alternatives plus souples et performantes aux contrats traditionnels des constructeurs. C’est dans ce contexte que le modèle TPM (Tierce Maintenance) et Shared Support connaît une adoption croissante.
Un contexte de complexité croissante pour les DSI
Les infrastructures IT des entreprises se sont considérablement diversifiées au fil du temps : serveurs, systèmes de stockage, sauvegarde, réseau… souvent issus de fournisseurs multiples. Cette diversité complexifie la maintenance, tant sur le plan technique qu’organisationnel.
Les contrats OEM (constructeurs) présentent des limites bien connues : rigidité, coûts élevés, couverture inégale selon les équipements, multiplicité des interlocuteurs… Pour les DSI, cela se traduit par une perte de lisibilité, une gouvernance fragmentée et une capacité d’optimisation réduite.
Le TPM et le Shared Support : une réponse adaptée aux enjeux actuels
Face à ces contraintes, le recours à un modèle de maintenance hybride associant TPM et OEM se révèle particulièrement pertinent. Il offre une alternative plus agile : une prise en charge globale des équipements, quel que soit leur constructeur, tout en conservant des accès ciblés aux ressources OEM lorsque cela est nécessaire (firmware, mises à jour logicielles, etc.).
Aujourd’hui, des services de maintenance IT, comme ceux proposés par Jiliti, permettent aux DSI de simplifier leur gestion opérationnelle via un modèle de guichet unique, tout en garantissant des niveaux de service élevés et une meilleure maîtrise des coûts.
Rationalisation, performance et sécurité
Au-delà de la réduction des dépenses, le modèle TPM / Shared Support vise à optimiser la disponibilité des systèmes et à sécuriser les opérations. Il repose sur des SLA homogènes, une supervision centralisée, et une approche proactive de la maintenance.
Certains prestataires vont même plus loin en intégrant des dispositifs de maintenance prédictive. Grâce à des capteurs et à l’analyse de données par intelligence artificielle, il est désormais possible d’anticiper les défaillances matérielles avant qu’elles n’impactent les opérations métiers. Cela transforme la maintenance IT d’un simple centre de coût en un véritable levier de performance.
Une couverture terrain à la hauteur des exigences
La proximité et la capacité d’intervention rapide sont des critères clés pour les DSI. C’est pourquoi certains acteurs, comme Jiliti, s’appuient sur un réseau d’agences locales (29 en France) couplé à une présence internationale : en Autriche, en Italie, aux États-Unis, et dans plus de 150 pays via des partenaires audités.
Cette organisation permet d’assurer des délai d’intervention courts, y compris sur des sites multiples ou à l’international, avec un niveau de qualité homogène.
Une expertise multi-technologies
Le modèle TPM/Shared Support repose sur la capacité à intervenir sur un large spectre de technologies : serveurs physiques, équipements réseau, solutions de stockage et de sauvegarde, etc.
Les équipes techniques sont formées aux spécifications des principaux constructeurs du marché, ce qui leur permet d’opérer dans des environnements complexes, tout en assurant la conformité des interventions.
La suite de la maintenance IT
À l’heure où la continuité des services IT conditionne la performance des entreprises, la maintenance ne peut plus être envisagée comme un simple service annexe. Elle devient un pilier stratégique de la gouvernance IT.
Le modèle TPM / Shared Support, tel que proposé par Jiliti, répond à ces nouvelles exigences. Il offre aux DSI une solution souple, efficace et alignée sur les enjeux de transformation numérique, tout en leur redonnant la main sur leurs infrastructures et leurs budgets.






