Basée à Orléans, la start-up EasyFlyer est rachetée par Cimpress (VistaPrint)
La start-up orléanaise EasyFlyer, spécialisée dans l’imprimerie en ligne (cartes de visite, photocall…), vient de rejoindre le groupe Cimpress, l’autre spécialiste de l’impression personnalisée. Basé aux Pays-Bas, Cimpress est tout simplement la maison-mère de… Vistaprint. Le fondateur de Cimpress, Robert Keane, avait rencontré les équipes d’EasyFlyer à Orléans. Le montant de la transaction n’a pas été précisé.
« Nous avons voulu tout axer sur l’ultrasatisfaction client. (…) C’est un mix entre Amazon et Zappos », expliquait Fabien Prêtre, le fondateur, à Frenchweb le mois dernier (voir la vidéo ci-dessous). Amazon, pour proposer le maximum de produits sur le site (20 000 références sont disponibles), et Zappos, pour l’expérience client.
L’histoire d’EasyFlyer démarre en 2009. Fabien Prêtre, qui avait créé une première société dans les blogs, n’était pas satisfait par les services proposés à l’époque en matière d’imprimerie en ligne. Il décide alors de fonder EasyFlyer. Depuis, l’entreprise a connu 100% de croissance chaque année et a atteint les 5 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2014.
Plus de détails avec l’interview de Fabien Prêtre, en mars 2015 :
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» ultrasatisfaction client »
La, franchement, c’est plutôt ironique.
N’importe quoi. Vous devriez plutôt commencer par rendre les photos et illustrations de votre site contractuelles, avant de devoir payer des gens à veiller à votre e-reputation.
Vous vous permettez d’expédier des articles certes conformes à la description sommaire qui en est faite mais n’ayant rien à voir avec les illustrations.
Et quand on se plaint auprès de votre service « satisfaction client », que vous devriez rebaptisé en « insatisfaction client », et que vous refusez le remboursement qui est proposé (pas le temps, pas la trésorerie pour passer commande ailleurs), on supprime carrément votre compte client.
Cette montée en puissance de cette société ayant pourtant de beaux atouts me rappelle clairement Pixmania en son temps, et la descente aux enfers qui a suivi par la suite (suite au rachat par un gros groupe), laissant de nombreux salariés sur le carreau.