[CONFIDENTIEL] Mark Zuckerberg, Boston Dynamics, Amazon, Renault
#AuBeurreNoir: Mark Zuckerberg bien amoché en couverture de Wired
Wired consacre sa « cover story » à Facebook et tout particulièrement aux « deux ans en enfer » que vient de traverser le réseau social de Mark Zuckerberg. L’article explore en profondeur le « Frankenstein Effect » auquel la société est confrontée ces derniers mois.
En couverture, un photomontage étonnant et plus vrai que nature, représentant le patron de Facebook sérieusement amoché : lèvre ouverte, ecchymose et sparadrap sur l’oeil.
A l’origine de cette image, l’artiste new-yorkais Jake Rowland, qui a mélangé des élements de quatre photographies différentes, dont une seule de Zuckerberg. Un mannequin ressemblant au jeune homme a été maquillé pour donner l’illusion des coups.
COVER STORY: For two years, it’s been hell inside of Facebook. 51 current and former employees paint a picture of a company grappling with the problems it’s caused, and a CEO whose techno-optimism is circling the drain as he tries to fix them https://t.co/mAQJm3rYCp pic.twitter.com/IK2fArcC6i
— WIRED (@WIRED) 12 février 2018
#HeyBuddy: SpotMini de Boston Dynamics est un robot bien urbain
Il est de retour. Le robot quadripède SpotMini de Boston Dynamics, qui avait été présenté en novembre dernier dans un teaser de 25 secondes, pour notre plus grand plaisir – et plus grand effroi. Car cette fois-ci, il est capable d’ouvrir une porte à l’aide de son bras articulé, avant de laisser passer un semblable moins doté (pour ne pas dire manchot). Les vidéos de Boston Dynamics sont certes toujours une source d’inspiration pour vos meilleurs cauchemars, d’où leur caractère hautement viral, mais peu d’informations filtrent encore sur les objectifs de la société, rachetée par SoftBank à Alphabet en juin 2017.
#Ajustements: Amazon va licencier quelques centaines d’employés à Seattle
Une bizarrerie dans la course effrénée à la croissance d’Amazon : le géant américain du e-commerce va licencier plusieurs centaines d’employés dans son siège social à Seattle – tandis qu’il recrute massivement dans ses activités à forte croissance, comme Alexa et Amazon Web Services (AWS).
La majorité des emplois concernés concernent la partie distribution, qui représente toujours le coeur des activités du géant, mais ne progresse plus aussi vite qu’auparavant.
A l’échelle d’Amazon, qui compte 566 000 collaborateurs dont 130 000 embauchés cette année, ces coupes peuvent apparaître accessoires. Elles arrivent toutefois au moment où Amazon cherche à se développer dans de nouveaux métiers, comme les médias, l’épicerie et le physique ou la logistique – sans compter les technologies transverses comme Alexa, qui a dopé les résultats d’Amazon au quatrième trimestre, dont le bénéfice a doublé sur la période.
Dans une déclaration au Seattle Times, qui a dévoilé l’information, Amazon confirme en indiquant qu’il s’agit d’ajustements dans le cadre de la planification annuelle de la société. Amazon a aussi indiqué travailler au reclassement des employés concernés dans les dits secteurs porteurs.
La société compte encore près de 4 000 postes à pourvoir au siège social de Seattle et environ 12 000 dans le monde. Le siège de Seattle est passé de 5 000 collaborateurs en 2010 à plus de 40 000 collaborateurs. Amazon est le deuxième plus grand employeur aux Etats-Unis.
Amazon va aussi ouvrir un deuxième siège social, pour lequel la firme de Jeff Bezos a ouvert un grand appel à candidatures auprès des métropoles nord-américaines, pour un budget de 5 milliards de dollars. HQ2 devrait employer jusqu’à 50 000 collaborateurs.
#eSport: Renault s’allie avec Vitality
Renault fait ses débuts dans le sport électronique. Le constructeur automobile a annoncé son arrivée dans l’eSport via sa filiale de sport automobile Renault Sport Racing. Dans ce cadre, Renault va s’associer à l’équipe française Vitality. Il s’agit du premier partenariat de cette envergure entre un groupe automobile et une équipe de sport en ligne. De cette coopération, va naître l’équipe «Renault Sport – Team Vitality», qui participera aux compétitions eSport dans l’automobile. Cette écurie de sport en ligne fera ses débuts sur Rocket League, un jeu qui mélange voitures téléguidées et le football.
Pour que ses joueurs s’entraînent dans les meilleures conditions, Renault leur mettra à disposition l’usine de Formule 1 d’Enstone, en Angleterre. Au sein de cette dernière, ils auront l’opportunité d’échanger avec les pilotes de l’écurie et les techniciens pour aborder la compétition de manière optimale. De la même manière, les gamers pourront livrer de précieux conseils aux techniciens du constructeur automobile pour améliorer les simulateurs F1. Désormais associés, Renault et Vitality réfléchissent à une éventuelle participation aux Formula 1 eSports Series, le tournoi officiel sur la simulation de courses de F1, dont la première édition s’est tenue l’an passé.