Arts et CultureBusiness

[Chronique] Digital music #36

L’O.M.T.C : l’objet musical tout court de la semaine (ou la vidéo qu’il est impossible d’avoir ratée à moins d’avoir passé la semaine dans une grotte en Laponie sans WIFI).

Ce mois de mai 2012 à vu disparaître deux figures majeures des années 70 : Donna Summer et Robin Gibb (Bee Gees). Ils laissent derrière eux un héritage musical et populaire immense, à leur image. Il était ainsi impossible de finir le mois sans leur rendre un dernier hommage à paillettes. Le disco est mort, vive le disco !

Page précédente 1 2 3 4 5 6 7 8Page suivante
Connaissez vous la DATAROOM de FRENCHWEB.FR notre base de données de startups et sociétés innovantes françaises: informations clés, fonds levées, chiffres d'affaires, organigramme, axes de développement. Accédez aux informations que nous avons collecté concernant plus de 1000 sociétés

Un commentaire

  1. Concernant le lancement de Sony Music Unlimited, il faut noter que Spotify et Deezer ont annoncé respectivement 16 et 15 millions de titres au sein de leur catalogue, contre 15 millions pour SMU.

    Ces chiffres sont très souvent trompeurs, et l’on ne sait jamais s’ils concernent le pays de l’utilisateur (en l’occurrence ici la France), une moyenne ou encore une autre zone géographique.

    De plus, il existe un phénomène de fond de duplication de titres et de reprises qui ont tendance à « gonfler » ces chiffres.

    Enfin, même iTunes Store avec ses 20 millions de titres n’est pas exhaustif et d’autres sites, parfois spécialisés comme Qobuz, offrent une plus grande variété verticale (sans parler du facteur de qualité qui n’est pas abordé dans l’article). Mais en définitive, il est souvent difficile de trouver ce que l’on cherche en numérique (le download étant mieux loti que le streaming) et le marché du CD reste plus intéressant en matière de qualité comme de diversité (et parfois même de prix).

    On peut aussi se poser des questions sur la stratégie de Sony Music qui accorde difficilement des licences aux distributeurs (comptez entre 300 et 400 K€ de minimums garantis par an pour du download) – notamment en streaming – et sort une offre concurrente avec une tarification qui ne pourra pas être proposée par les acteurs du marché (brider le nombre de titres afin de proposer du streaming mobile à 3,99 €).

    Ce qu’il faut à cette industrie, c’est casser le modèle tarifaire monolithique actuel et grandement faciliter l’accès aux catalogues afin de multiplier les sources de distribution. Je prendrai un abonnement le jour où l’on me proposera le service ultime de streaming de musiques de film, par exemple. ;-)

Bouton retour en haut de la page
Share This