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[INSIDERS] Nabla, le nouveau projet IA mené par des anciens de Facebook et de My Little Paris

#ASuivre: Nabla, nouveau projet IA mené par des anciens de Facebook et de My Little Paris

Où l’on apprend sur le mur Facebook de Delphine Groll, ancienne directrice du Business Development My Little Paris le lancement d’un nouveau projet autour de l’intelligence artificielle, avec des cofondateurs de premier rang : Alexandre Lebrun, cofondateur, Martin Raison, cofondateur, et Delphine Groll donc, cofondatrice. Moustapha Cissé, Scientist Advisor de Nabla, a également joué un rôle clé lors de la création de la startup. Ce dernier vient récemment d’être nommé à la tête du centre de recherche de Google sur l’intelligence artificielle en Afrique.

Alexandre Lebrun, entrepreneur depuis plus de 14 ans (Virtuoz, Asiance, Wit.ai), travaillait depuis trois ans et demi chez Facebook, suite au rachat de sa startup Wit.ai par le réseau social. En 2016, il a rejoint Paris pour participer à la fondation de FAIR (Facebook AI Research).

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Selon le post Facebook d’Alexandre Lebrun, les ambitions de la startup, basée à Paris, sont grandes : il s’agit « d’apporter les bénéfices de l’IA dans le monde réel, en particulier les entreprises », avec une « gamme de produits IA autour de la génération de contenu, de l’augmentation de contenu, des communications améliorées, de la sécurité, de la détection de biais, etc. » mais aussi donner à la France et à l’Europe les moyens d’exprimer et de déployer leurs talents dans le secteur, à l’orée de cette révolution.

Plus d’informations seront communiquées en septembre, mais d’ici-là, les recrutements sont déjà en cours pour constituer l’équipe de base de Nabla.

#Transport: la RATP passe au ticket de métro sur mobile

AFP – La fin du ticket de métro avance doucement avec la mise en place des premiers tests de tickets RATP disponibles sur smartphone à partir de la rentrée. Avec l’application Navigo Lab, développée par la start-up Wizway, co-entreprise de Gemalto, Orange, RATP et SNCF, il sera désormais possible de franchir les portiques avec son smartphone, en utilisant la technologie NFC. Si la technologie concerne avant tout les tickets, elle sera dans un second temps étendue aux abonnements, en remplacement du pass Navigo. La phase de tests sera ouverte sur smartphones Android, pas encore sur iPhone. Seuls les abonnés Orange pourront également l’utiliser dans un premier temps, étant le seul opérateur à proposer des cartes SIM intégrant du NFC.

Crédits : Shutterstock.

#RA: le Magic Leap One, « un matériel coûteux et de courte durée » selon iFixit

Après sept ans d’attente depuis la création de l’entreprise en 2011 et plus de 2 milliards de dollars levés auprès d’investisseurs comme Google ou JP Morgan, Magic Leap a enfin sorti un produit disponible pour l’instant que dans quelques villes américaines (Los Angeles, Miami, New York, San Francisco, Seattle…). Appelé le Magic Leap One, le casque est vendu à partir de 2 295 dollars.

Crédit: Magic leap

Les spécialistes d’iFixit l’ont démonté pour voir ce que la machine avait vraiment dans le ventre et lui attribuer un score en fonction de sa capacité à être réparée. Le Magic Leap One a écopé d’une note de 3/10 (10 étant le plus facile à réparer). « Le Magic Leap One est clairement un matériel coûteux et de courte durée », explique notamment iFixit qui pense que l’entreprise s’est dépêchée de le sortir pour mettre un produit sur le marché. Les espoirs se portent donc sur les prochains produits de la marque « espérons une édition grand public qui allie le design réfléchi et le souci de la durabilité […] », déclare iFixit.

#FoodTech: la blockchain pour améliorer la sécurité alimentaire

AFP – Les géants de l’agro-alimentaire et de la distribution Nestlé, Walmart ou encore Unilever se sont associés à IBM afin de travailler à l’intégration de la blockchain dans la surveillance du maintien de la qualité de la chaîne de production alimentaire. Les premiers tests ont été réalisés sur de la citrouille en boîte et doivent être désormais suivis par des tests sur des aliments contenant plusieurs ingrédients, des aliments pour nourrissons produits par le groupe suisse. L’objectif est de permettre un transfert rapide de l’information afin d’identifier une éventuelle rupture de la chaîne de production et les risques afférents.

Crédits : Shutterstock.
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