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[Tribune] Quelques questions que devrait soulever l’IPO de Facebook par Frédéric Montagnon
Ce vendredi, au moment de son introduction en bourse, Facebook vaudra au moins autant que Saint Gobain (15,6 mrds €), Vinci (18,6 mrds €), Veolia (5,1 mrds €), Alstom (6,9 mrds €), Lafarge (8 mrds €), Michelin (9,2 mrds €) et Essilor (14,5 mrds €) réunis.
à quoi sert cet article ? a faire plaisir à un monsieur qui n’a rien à dire ?
Frenchweb mérite mieux que de la vacuité…
J’aurai volontier discuté avec vous et considéré votre remarque si vous aviez laissé un nom ou une URL…
Pas besoin. Il ou elle a raison.
La valorisation importante, que Facebook va atteindre lors de cette IPO, reflète les nombreuses opportunités qui s’offrent à Facebook. Si le mobile sera la clé de la pérennité du site, ses récentes évolutions pour diversifier ses sources de revenus sont autant de nouvelles pistes pour une croissance durable : http://www.ideas4tomorrow.com/2012/05/facebook-investment-for-future.html
Contrairement au commentaire de ComprendsPas qu’on ne comprends effectivement pas, je trouve que vous mettez le doigt sur de vraies problématiques.
Je suis un entrepreneur français, ayant principalement vécu à Paris, convaincu et fier d’un projet dans l’ambition est de changer un peu le monde par un modèle économique disruptif et incitatif et j’aimerais ne pas avoir de doute quant au choix du pays pour l’implantation de la structure et de l’équipe de direction.
Comme on vous le conseil , il est à priori plus facile de se lancer depuis un endroit familier…
Premier problème, dans notre cas, celui de la vente de Digital Goods, en Europe mieux vaux que la structure soit Luxembourgeoise pour ne pas perdre bêtement la différence de TVA qui s’appliquera encore jusqu’en 2015.
Après viennent les questions de cadres de travail et de l’esprit entrepreneurial des ceux qui vont constituer votre équipe…
Je pense que c’est principalement cette raison pour laquelle les start up de français les plus dynamiques sont aujourd’hui essentiellement basées à New York.
Aujourd’hui le sentiment que donne le climat français, c’est qu’on y parle beaucoup de changer le monde, mais qu’on continu malheureusement de ne pas prendre de risque.